Je suis lesbienne phallique. Mon Amour est un silence issu de la souffrance du parlant vain. Ma gorge est serrée lorsqu’auprès de toi je repose. Toi me réconforte mieux que mille poèmes, mille mots. Mais, jamais je ne l’avouerai de vive voix, car ma voix est une lettre morte-avortée dans le tourbillon de la sensation.
Le temps est, déjà, trop long sans Toi.