Dans l'alcôve, il est bon d'avoir encore 16 ans. Laisser sur le corps jouir le souffle du vent. N'oser trop... Oser tôt... Avancer et reculer en synchrone mouvement des corps. Vaguer sous un ciel jaune sans chercher le port. Mains émouvantes en des sables chauds et troublants. Ondulations, percutions des veines, baisers lents. Soupirs de rien. Émois des liens. Langues farouches. Corps manouches. Il est si bon d'avoir 16 ans...
Oué ça parait.