Ah, que ne puis-je laisser mon Amour, le laisser aux lamies, le laisser aux harpies ? Ah, que ne puis-je crever cet Amour, le bouffer cronosiquement et en finir de cette PANique attitude qui me fait cavaler le palpitant vers de dangereux sommets ? Que ne puis-je couvrir ce Cœur palpitant d’un suaire pourrissant et reposer en paix ? Que ne puis-je souffler cette Flamme qui brûle mon âme comme brasier d’Envers ? Que ne puis-je ne plus me connaître, oublier jusqu’à mon nom et L’oublier ainsi, aussi ? Des terreurs d’un Amour-Abysse vers Elle je plonge, je me noie, je me dissous. Des territoires vampyriques d’une habitude sans esprit vers Elle je me rampe, vers elle je me serpente. D’un envoûtement délicieusement torturé, je suis le prisonnier. Prisonnier extatique en peine dans le Silence.
J’sais pas moi, c’est en plein été en même temp. >O